Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique
Balli Kaur Jaswal
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Généreux, émouvant et épicé, un roman qui questionne avec originalité et force la place des femmes orientales en Occident, leurs tiraillements entre traditions ancestrales et désir de liberté. " Association sikhe recherche animatrice pour atelier d'écriture réservé aux femmes. " La bonne aubaine pour Nikki, Londonienne de vingt-deux ans, en …
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Description
- Titre(s)
- Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique
- Auteur(s)
- Balli Kaur Jaswal (Auteur / autrice)Guillaume-Jean Milan (Traducteur / traductrice)
- Collation
- 352 p
- Centre(s) d'intérêt
- Premier roman de l'auteur
- Collection(s)
- Le cercle
- Année
- 2018
- Sujet(s)
- Littérature indienne (de l'Inde)Femmes
- Genre
- Roman
- Identifiant
- 2-7144-7575-2
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Généreux, émouvant et épicé, un roman qui questionne avec originalité et force la place des femmes orientales en Occident, leurs tiraillements entre traditions ancestrales et désir de liberté. " Association sikhe recherche animatrice pour atelier d'écriture réservé aux femmes. " La bonne aubaine pour Nikki, Londonienne de vingt-deux ans, en quête désespérée d'un petit boulot. Mais alors qu'elle pensait former des apprenties romancières, Nikki se retrouve face à un public inattendu : une dizaine d'Indiennes, de tous âges, majoritairement veuves, souvent analphabètes et dotées d'une imagination très, très fertile. Écrire ? Pensez-vous ! Elles, ce qu'elles veulent, c'est raconter : le choc culturel, la vie de famille, l'éducation des enfants. Raconter encore l'amour, le sexe et tous ces fantasmes enfiévrés qui leur traversent si souvent l'esprit. Raconter aussi la solitude, la soumission aux hommes, la violence, parfois. Alors que la fréquentation de ce club débridé augmente de semaine en semaine, Nikki s'interroge : comment porter ces histoires au-delà des murs de la maison de quartier ? La jeune étudiante a une idée. Mais libérer la parole des femmes n'est jamais sans danger...
- Prix
- 21 EUR
- Editeur(s)
- BelfondBelfond
Avis
Des lecteurs
le 04 avril 2019
Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique
Ce roman nous permet de rentrer dans la communauté Pendjabi de Southall à Londres qui vit en vase clos. Cet aspect est très intéressant. La jeune Nikki va devoir résoudre le mystère entourant la mort d'une jeune mariée. Toutefois, le livre tend à être "décousu" vers la fin et les passages décrivant les fantasmes des femmes sont répétitifs et inutilement détaillés.
le 11 juin 2019
Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique
Le personnage de Nikki est la respiration de ce texte qui transpire la claustration de cette communauté sikh.
Le club doit son succès à l'échappatoire qu'il procure au travers de la narration de leurs fantasmes érotiques.
On finit par éprouver de l'empathie pour ces 'veuves'.
Le club doit son succès à l'échappatoire qu'il procure au travers de la narration de leurs fantasmes érotiques.
On finit par éprouver de l'empathie pour ces 'veuves'.
le 09 juillet 2019
Le club des veuves qui aimaient la littérature éroti
ce roman nous fait entrer dans l'atmosphère d'un quartier londonien où les habitudes de vie pendjabi du pays d'origine font loi. On apprend des choses sur le quotidien de ces veuves qui vivent en vase clos, sous le joug des hommes mais qui n'hésitent pas à parler de leurs fantasmes érotiques grâce à Nikki, jeune femme qui cherche à gagner sa vie en donnant un cours d'anglais qui se révèle "très particulier". Elle se retrouve malgré elle embringuée dans une énigme à résoudre au sujet de la mort d'une jeune fille. C'est le personnage attachant de l'histoire. Les femmes qu'elle rencontre avec leur tempérament l'entraînent dans une aventure à laquelle elle ne s'attendait pas.
LE MOINS
Les récits fantasmatiques sont un peu lourds et finissent par lasser.
LE MOINS
Les récits fantasmatiques sont un peu lourds et finissent par lasser.
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